Chronique de mon erreur judiciaire, une victime de l'affaire d'Outreau
EAN13
9782080688309
ISBN
978-2-08-068830-9
Éditeur
Flammarion
Date de publication
Collection
Documents, Témoignages
Nombre de pages
384
Dimensions
24 x 15,2 x 2,6 cm
Poids
500 g
Code dewey
347.44

Chronique de mon erreur judiciaire

une victime de l'affaire d'Outreau

De

Flammarion

Documents, Témoignages

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    Description
    R150216296: 379 pages- tranche légèrement salie In-8 Broché. Bon état. Couv. convenable. Dos satisfaisant. Intérieur frais Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
    État de l'exemplaire
    Bon état
    Format
    In-8
    Reliure
    Broché
    29.80 (Occasion)
L'affaire d'Outreau. Au départ, dixit la presse, le démantèlement d'un vaste réseau de pédophiles impliquant des «notables»: «la boulangère», «le prêtre», «l'huissier»... Et à l'arrivée, un terrible fiasco judiciaire avec des innocents aux vies et réputations broyées par une enquête bâclée. Tout le monde se souvient de ce procès, mais qui a compris le calvaire enduré par ceux qui ont été jetés en pâture à l'opinion alors qu'ils n'avaient rien à se reprocher? C'est justement cette descente aux enfers, cette vie qui bascule à jamais dans l'horreur et le déshonneur, qu'Alain Marécaux - «l'huissier» - raconte dans cette chronique émouvante. Arrêté le 14 novembre 2001 à son domicile sans comprendre ce qui lui arrivait, il s'est retrouvé, ainsi que son épouse, présumé coupable. Bien que protestant de son innocence, bien que son dossier soit vide, que les confrontations avec ses accusateurs aient montré leurs incohérences, toutes ses demandes de remise en liberté furent rejetées. De maison d'arrêt en hôpital psychiatrique, de tentatives de suicide en grève de la faim, il a passé presque deux ans en détention provisoire pour des faits qu'il jure depuis toujours n'avoir pas commis. Quand, au printemps 2004, le procès a lieu, enfin le ciel semble se dégager. Mais, malgré les témoins en sa faveur, les revirements de ses accusateurs, la débandade de l'enquête, il est condamné à dix-huit mois de prison avec sursis. Pour des attouchements sur son fils qu'il nie farouchement. Aujourd'hui, alors que le procès en appel va s'ouvrir, Alain Marécaux a choisi de parler vrai. De dénoncer la conduite de l'instruction, de raconter comment il a tout perdu, mais aussi de lutter afin de mettre en garde le public et de lui faire comprendre qu'un tel drame peut arriver à chacun d'entre nous. Photo de couverture: Jean Gaumy © Magum Photos
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