Journal / Jules Roy., 2, Les Années cavalières, Journal 2 : 1966-1985
EAN13
9782226105011
ISBN
978-2-226-10501-1
Éditeur
Albin Michel
Date de publication
Collection
POESIE HORS COL (2)
Séries
Journal / Jules Roy. (2)
Nombre de pages
360
Dimensions
24 x 15,5 x 2,7 cm
Poids
535 g
Langue
français
Code dewey
848.91

2 - Les Années cavalières

Journal 2 : 1966-1985

De

Albin Michel

Poesie Hors Col

Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
entrez le nom de votre ville

Offres

  • Vendu par Librairie Le Livre.com
    Description
    R300309476: 1998. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos plié, Intérieur frais. 353 pages. Annotations à l'encre et au crayon de papier sur le 1er contreplat et en page de garde. 2e plat plié.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
    État de l'exemplaire
    Etat d'usage, Coins frottés, Dos plié, Intérieur frais
    Format
    In-8
    Reliure
    Broché
    20.90 (Occasion)

Autre version disponible

Autres livres dans la même série

« Ce sont Les chevaux du soleil qui nous ont usés Tania et moi et qui m'ont tué. »

Cette remarque, Jules Roy la consigne dans son Journal en 1981. La parution des six tomes de cette saga romanesque s'est étirée de 1968 à 1975, mobilisant toute l'énergie de l'écrivain, l'éloignant peu à peu des combats politiques et médiatiques qui avaient tenu, auparavant, une place importante dans sa vie.

Retiré sur la colline de Vézelay, blessé par ses infructueuses batailles, il se console auprès de son âne et de ses chiens, s'immerge dans la foire aux chapons de Montrevel, tandis que, les uns après les autres, s'éteignent les amis : Maurice Clavel, Max-Paul Fouchet, Jean-Louis Bory, sans oublier Sigaux, Kanters et Doyon.

Et pourtant, à l'aube des années 80, le nouveau chef de l'Etat, François Mitternad, s'invite volontiers chez lui, l'entraîne rencontrer Ernst Junger afin d'écouter les deux anciens guerriers ennemis devenus écrivains confronter leurs visions du monde. Il ne tiendrait qu'à lui d'appartenir à la Cour. Seulement, pour flatté qu'il soit, Jules Roy n'est pas dupe. Son journal en porte témoignage.
S'identifier pour envoyer des commentaires.