Julie de Lespinasse / mourir d'amour
mourir d'amour
De Marie-Christine d' Aragon, Jean Lacouture
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Vendu par Démons et merveilles
- État de l'exemplaire
- French édition - Livre issu de déstockage JAMAIS LU présentant des marques de manipulation sur la couverture et/ou les pourtours mais demeurant en très bon état d'ensemble.Expédition sous blister dans une enveloppe matelassée depuis la France
- Format
- 16x24x2cm. 2006. Broché. 332 pages.
5.90 (Occasion)
La vie de la plus grande amoureuse du XVIIIe siècle.
Bâtarde, sans beauté, sans fortune, domestique à seize ans des enfants de son père, puis obscure dame de compagnie de la femme la plus illustre de Paris, Julie de Lespinasse (1732-1776) aurait pu passer dans son siècle comme une ombre.
Mais elle était le charme même : on n'approchait pas d'elle sans se sentir attiré. Elle ouvre un salon et c'est le succès : d'Alembert, Condorcet, Marmontel, Turgot, La Harpe, Grimm, le Tout Paris des lettres et des arts vient y refaire le monde. Elle est la muse de l'Encyclopédie ; celle qu'il faut séduire pour entrer à l'Académie française ; elle a la gloire, le pouvoir.
D'Alembert est à ses pieds. Mais elle est folle du marquis de Mora, trop beau, trop jeune, trop parfait. Elle le trahit pour le comte de Guibert, trop volage, trop séduisant, qui en aime une autre et en épouse une troisième. Elle l'aime « comme il faut aimer : avec excès, avec folie, transport et désespoir ». Et elle lui écrira des milliers de lettres, un torrent de lave, dont les pages brûlent encore. Mais ces mots s'adressent aussi à Mora Car le coeur le plus brûlant de tout le XVIIIe siècle ne sait plus pour qui il bat. Une seule issue : la mort.
Cette biographie passionnée est suivie d'un choix des plus belles lettres de Julie de Lespinasse.
Bâtarde, sans beauté, sans fortune, domestique à seize ans des enfants de son père, puis obscure dame de compagnie de la femme la plus illustre de Paris, Julie de Lespinasse (1732-1776) aurait pu passer dans son siècle comme une ombre.
Mais elle était le charme même : on n'approchait pas d'elle sans se sentir attiré. Elle ouvre un salon et c'est le succès : d'Alembert, Condorcet, Marmontel, Turgot, La Harpe, Grimm, le Tout Paris des lettres et des arts vient y refaire le monde. Elle est la muse de l'Encyclopédie ; celle qu'il faut séduire pour entrer à l'Académie française ; elle a la gloire, le pouvoir.
D'Alembert est à ses pieds. Mais elle est folle du marquis de Mora, trop beau, trop jeune, trop parfait. Elle le trahit pour le comte de Guibert, trop volage, trop séduisant, qui en aime une autre et en épouse une troisième. Elle l'aime « comme il faut aimer : avec excès, avec folie, transport et désespoir ». Et elle lui écrira des milliers de lettres, un torrent de lave, dont les pages brûlent encore. Mais ces mots s'adressent aussi à Mora Car le coeur le plus brûlant de tout le XVIIIe siècle ne sait plus pour qui il bat. Une seule issue : la mort.
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