- EAN13
- 9782351642412
- ISBN
- 978-2-35164-241-2
- Éditeur
- Chiflet
- Date de publication
- 08/09/2016
- Collection
- Hors collection
- Nombre de pages
- 158
- Dimensions
- 20,1 x 13,1 x 1,3 cm
- Poids
- 184 g
- Langue
- français
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Vendu par Book Hémisphères
- État de l'exemplaire
- Occasion - Très Bon Etat - Chiflet poche - 2016 - 9782351642412 - Poche
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Autre version disponible
Pour la première fois depuis près de soixantedix livres, j’ai décidé d’être enfin moi-même (il était temps…) et d’aborder un sujet plus que sérieux puisqu’il s’agit d’une confrontation avec… Dieu, lui-même !
Marqué par une éducation très catholique et ayant depuis longtemps perdu cette fois qui me fut durement imposée, j’ai voulu, inspiré par cette jolie phrase de Julian Barnes « Je ne crois pas en Dieu, mais il me manque… » essayer de savoir si, arrivé à un âge canonique, si oui ou non Dieu existe. À l’époque de « l’uberisation », il m’a paru plus simple de m’adresser directement au Bon Dieu qu’à son cher clergé à travers une lettre franche mais légère sur laforme pour ne pas faillir, quand même, à ma soidisant réputation d’amuseur.
Résultat, un livre je crois assez puissant qui risque vraiment de surprendre, entre la confession et la psychothérapie sauvage. Dans une première partie, je ne laisse rien au hasard : enfance, adolescence marquée par une forte culpabilité judéo-chrétienne, une sexualité bridée mais heureusement débridée par la suite…
Dans une seconde partie je prends Dieu à témoin en lui démontrant que son clergé « m’a tuer » et je m’adresse ensuite à tous les grands penseurs, écrivains et intellectuels de ce monde ; de Voltaire à Pascal, Sartre, Camus, Onfray, San Antonio, Woody Allen et bien d’autres ; en décryptant ce qu’ils ont pu dire et écrire sur Dieu et le big bang pour me faire enfin mon opinion sur la question.
Ce livre (qui sera peut-être mon dernier ?) se termine-t-il sur ma conversion ? Suspense… Ah ! J’oubliais, j’en profite aussi pour écrire mon oraison funèbre et éviter ainsi à mes amis de se croire obligés, le moment venu, de me trouver, suivant la tradition, des qualités posthumes autour de ma pauvre dépouille. Jean-Loup Chiflet
Marqué par une éducation très catholique et ayant depuis longtemps perdu cette fois qui me fut durement imposée, j’ai voulu, inspiré par cette jolie phrase de Julian Barnes « Je ne crois pas en Dieu, mais il me manque… » essayer de savoir si, arrivé à un âge canonique, si oui ou non Dieu existe. À l’époque de « l’uberisation », il m’a paru plus simple de m’adresser directement au Bon Dieu qu’à son cher clergé à travers une lettre franche mais légère sur laforme pour ne pas faillir, quand même, à ma soidisant réputation d’amuseur.
Résultat, un livre je crois assez puissant qui risque vraiment de surprendre, entre la confession et la psychothérapie sauvage. Dans une première partie, je ne laisse rien au hasard : enfance, adolescence marquée par une forte culpabilité judéo-chrétienne, une sexualité bridée mais heureusement débridée par la suite…
Dans une seconde partie je prends Dieu à témoin en lui démontrant que son clergé « m’a tuer » et je m’adresse ensuite à tous les grands penseurs, écrivains et intellectuels de ce monde ; de Voltaire à Pascal, Sartre, Camus, Onfray, San Antonio, Woody Allen et bien d’autres ; en décryptant ce qu’ils ont pu dire et écrire sur Dieu et le big bang pour me faire enfin mon opinion sur la question.
Ce livre (qui sera peut-être mon dernier ?) se termine-t-il sur ma conversion ? Suspense… Ah ! J’oubliais, j’en profite aussi pour écrire mon oraison funèbre et éviter ainsi à mes amis de se croire obligés, le moment venu, de me trouver, suivant la tradition, des qualités posthumes autour de ma pauvre dépouille. Jean-Loup Chiflet
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