- EAN13
- 9782845922761
- ISBN
- 978-2-84592-276-1
- Éditeur
- Presses du Châtelet
- Date de publication
- 14/01/2009
- Collection
- SPIRITUALITE
- Nombre de pages
- 242
- Dimensions
- 10 x 10 x 2 cm
- Poids
- 312 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 242.7
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Vendu par Librairie Le Livre.com
- Description
- R300314489: 2011. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 234 pages.. . . . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
- État de l'exemplaire
- Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais
- Format
- In-8
- Reliure
- Broché
16.95 (Occasion)
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www.pressesduchatelet.com
Si vous souhaitez recevoir notre catalogue et être tenu au courant de nos publications, envoyez vos nom et adresse, en citant ce livre, aux Presses du Châtelet, 34, rue des Bourdonnais 75001 Paris. Et, pour le Canada, à Édipresse Inc., 945, avenue Beaumont, Montréal, Québec, H3N 1W3.
eISBN 978-2-8459-2426-0
Copyright © Presses du Châtelet, 2009.
À mes grands-mères, Juliette Droguat et Marie-Rose Bardin, qui vénéraient, à longueur de chapelets, Notre-Dame de Lourdes et Notre-Dame de la Salette.
Avant-propos
Le christianisme a donné de nombreux noms à la mère du Christ, Notre-Dame, la Madone, la Sainte Vierge ou la Vierge Marie. Le dogme de l'Immaculée Conception n'a été promulgué qu'en 1854. À Marie sont aujourd'hui dédiées de très nombreuses églises et chapelles.
Mais la Vierge Marie ne se manifeste pas uniquement dans les temps chrétiens. Elle est « l'héritière », l'avatar, la réincarnation des grandes déesses des anciennes religions – Isis, Nout, Gaïa, Déméter, Cybèle, les Déesses blanches des Celtes –, dont elle a gardé, en les transcendant, toutes les caractéristiques, à la fois de création cosmique et de bonté universelle.
C'est pourquoi il n'est nul besoin d'être catholique pour la prier, l'invoquer, mendier son secours. Marie est, depuis la nuit des temps et quel que soit son nom, la grande protectrice, la mère universelle. « Tu enfanteras dans la douleur », disent les Écritures. Toutefois, le message chrétien ajoute : « Et Marie apaisera tes douleurs. » Celle en qui les hommes et les femmes, en dernier recours, quand tout s'écroule autour d'eux, placent leur confiance, leur espérance et leur foi. Et cette foi, plus païenne que religieuse, est si intense que Marie ranime les forces absentes et redonne goût à la vie et à ses combats par l'intermédiaire de la médaille qui lui sera consacrée. Telle est la puissance des talismans, telle est la force de la médaille miraculeuse de la Vierge : multiplier et retransmettre les énergies dont on l'a, obscurément mais sincèrement, symboliquement mais intensément, chargée.
Selon le mal dont vous souffrez, vous pourrez demander à l'un des quelque deux cents saints guérisseurs qui vous sont présentés dans ce livre d'intercéder auprès d'elle pour vous soulager.
LA MÉDAILLE DE MARIE
BÉNÉDICTION DE LA MÉDAILLE
Il est d'usage, lorsqu'on vient d'acquérir une médaille, de la bénir. Mais il est préférable que vous la personnalisiez, que cette médaille soit la vôtre, et uniquement la vôtre. Pour cela, inutile de faire appel à un prêtre. L'eau bénite n'est pas non plus indispensable ; elle est, comme le cierge, un accessoire destiné à donner plus de solennité à la bénédiction lorsque celle-ci a lieu dans un site consacré (église, chapelle).
Isolez-vous, déposez la médaille devant vous, sur un mouchoir ou un napperon blanc, fixez-la intensément du regard, comme si vous vouliez graver son image dans votre mémoire, et récitez :
Notre aide est dans le nom du Seigneur, qui a créé le Ciel et la Terre.
Notre aide est dans la Vierge Marie, mère de Notre-Seigneur Jésus venu sur Terre racheter les fautes des hommes et leur donner l'espoir de la rédemption.
Seigneur, exaucez ma prière, et que mon cri monte jusqu'à vous.
Vierge Marie, exaucez ma prière, et que mon cri monte jusqu'à vous.
Dieu Tout-Puissant et Éternel, tolérez le culte que je rendrai à l'image de celle qui incarne le suprême refuge, l'éternel réconfort.
Vierge Marie, acceptez que cette image soit celle que je veux garder de vous, quand je demanderai votre appui et votre consolation. Acceptez que j'y associe le souvenir des saints dont je chercherai à imiter les actes et la sainteté.
Daignez tous deux, je vous en supplie (faire un signe de croix sur la médaille, main tendue) bénir (faire un nouveau signe de croix sur la médaille, main tendue) et sanctifier cette médaille faite en l'honneur de Notre-Dame de Lourdes,
Et accordez-moi, qui aurai soin de prier avec dévotion devant cette image,
Toutes les grâces en cette vie, et la gloire éternelle dans l'autre.
Par notre Seigneur Jésus-Christ (Faire le signe de croix sur sa poitrine.)
Amen.
Vous pourrez renforcer cette bénédiction en la renouvelant lors d'un pèlerinage (près de cinq cents lieux de pèlerinage vous sont proposés page 67), en allant vous recueillir dans l'une des nombreuses cathédrales, églises, basiliques ou chapelles dédiées à Notre-Dame, ou à l'occasion d'une fête en l'honneur de Marie (voir page 93).
Héritière des talismans de protection antiques et du culte médiéval des reliques, la croyance dans le pouvoir des médailles de protection, ou médailles miraculeuses, est toujours vivace.
COMMENT PRIER
Les prières et incantations s'ouvrent et s'achèvent, si possible, sur un signe de croix. Pour plus d'efficacité, elles seront courtes, mais intenses. Il n'y a pas de méthode particulière pour s'adresser à la Vierge Marie ou à un saint intercesseur, excepté un profond respect ; la médaille est, comme les anges, un intermédiaire, un porte-parole qui n'a besoin d'aucun protocole. L'essentiel de la prière est dans la sincérité avec laquelle elle est prononcée : le fond compte plus que la forme. Inutile de dire la prière à haute voix, il suffit de la prononcer mentalement, en se concentrant.
Prenez votre médaille, ou, si vous n'êtes pas seul(e), posez la main sur votre porte-cartes. Vous pouvez aussi fixer votre esprit sur son image si vous n'avez pas votre médaille avec vous, car on peut prier partout, dans le métro ou dans le bus, pendant la pause-café ou au travail, entre deux coups de téléphone... Au volant, même, en profitant des embouteillages.
Décontractez-vous, profitez de cet instant en vous disant qu'il est unique, laissez monter en vous l'énergie de la médaille et récitez mentalement ou à haute voix, selon le contexte, la plus belle des prières jamais écrite, et sans doute la plus récitée au monde, le « Je vous salue Marie », l'Ave Maria latin, que les plus grands compositeurs ont mis en musique. Récitez-le avec toute votre ferveur, et ce sera digne de Haydn ou de Gounod. Les mots en sont simples et efficaces, ils valent toutes les invocations, plus ou moins éloquentes :
Je vous salue Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l'heure de notre mort.
Ainsi soit-il.
La prière originale, en latin :
Ave Maria, gratia(e) plena,
Dominus tecum,
benedicta tu in mulieribus,
et benedictus fructus ventris tui Iesus.
Sancta Maria, Mater Dei,
ora pro nobis peccatoribus,
nunc, et in hora mortis nostræ.
Amen.
Ensuite, adressez votre requête à la Vierge, ou faites-lui vos confidences ; racontez-lui vos soucis, mais aussi vos joies. Avant de prendre une décision, demandez-lui qu'elle vous envoie un signe et qu'elle vous aide à interpréter ce signe. Avec des mots simples : la sincérité, même maladroite, vaut tous les discours du monde.
Si vous avez des problèmes de santé ou de vie quotidienne, vous pouvez la solliciter par l'intermédiaire d'un saint guérisseur (voir page 115, ainsi que l'index en fin d'ouvrage), car deux protections valent toujours mieux qu'une !
LES PRIÈRES À MARIE
Il existe, outre l'Ave Maria, d'autres prières à Marie, que vous pourrez réciter, toujours avec respect et ferveur, lorsque vous vous apercevrez que votre « Je vous salue Marie » est devenu routinier.
• Saint Alphonse-Marie de Liguori (mort en 1787), évêque de Nocera, en Italie, qui consacra sa vie aux pauvres et à ceux que la société rejette, est l'auteur de cette prière à Marie :
Ô Marie, Vierge très sainte et immaculée,
Vous qui êtes la Mère de mon Seigneur,
Vous qui êtes ma Mère,
Vous le refuge des pécheurs,
Moi, le plus misérable de tous, je fais encore appel à vous aujourd'hui.
Je vous vénère, ô grande Reine, et je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites jusqu'ici.
Merci de m'avoir délivré de l'enfer, que j'ai si souvent mérité.
Je vous aime, ô ma Souveraine, et pour votre amour, je m'engage à vous servir toujours, et à faire tous mes efforts pour que vous s...
Si vous souhaitez recevoir notre catalogue et être tenu au courant de nos publications, envoyez vos nom et adresse, en citant ce livre, aux Presses du Châtelet, 34, rue des Bourdonnais 75001 Paris. Et, pour le Canada, à Édipresse Inc., 945, avenue Beaumont, Montréal, Québec, H3N 1W3.
eISBN 978-2-8459-2426-0
Copyright © Presses du Châtelet, 2009.
À mes grands-mères, Juliette Droguat et Marie-Rose Bardin, qui vénéraient, à longueur de chapelets, Notre-Dame de Lourdes et Notre-Dame de la Salette.
Avant-propos
Le christianisme a donné de nombreux noms à la mère du Christ, Notre-Dame, la Madone, la Sainte Vierge ou la Vierge Marie. Le dogme de l'Immaculée Conception n'a été promulgué qu'en 1854. À Marie sont aujourd'hui dédiées de très nombreuses églises et chapelles.
Mais la Vierge Marie ne se manifeste pas uniquement dans les temps chrétiens. Elle est « l'héritière », l'avatar, la réincarnation des grandes déesses des anciennes religions – Isis, Nout, Gaïa, Déméter, Cybèle, les Déesses blanches des Celtes –, dont elle a gardé, en les transcendant, toutes les caractéristiques, à la fois de création cosmique et de bonté universelle.
C'est pourquoi il n'est nul besoin d'être catholique pour la prier, l'invoquer, mendier son secours. Marie est, depuis la nuit des temps et quel que soit son nom, la grande protectrice, la mère universelle. « Tu enfanteras dans la douleur », disent les Écritures. Toutefois, le message chrétien ajoute : « Et Marie apaisera tes douleurs. » Celle en qui les hommes et les femmes, en dernier recours, quand tout s'écroule autour d'eux, placent leur confiance, leur espérance et leur foi. Et cette foi, plus païenne que religieuse, est si intense que Marie ranime les forces absentes et redonne goût à la vie et à ses combats par l'intermédiaire de la médaille qui lui sera consacrée. Telle est la puissance des talismans, telle est la force de la médaille miraculeuse de la Vierge : multiplier et retransmettre les énergies dont on l'a, obscurément mais sincèrement, symboliquement mais intensément, chargée.
Selon le mal dont vous souffrez, vous pourrez demander à l'un des quelque deux cents saints guérisseurs qui vous sont présentés dans ce livre d'intercéder auprès d'elle pour vous soulager.
LA MÉDAILLE DE MARIE
BÉNÉDICTION DE LA MÉDAILLE
Il est d'usage, lorsqu'on vient d'acquérir une médaille, de la bénir. Mais il est préférable que vous la personnalisiez, que cette médaille soit la vôtre, et uniquement la vôtre. Pour cela, inutile de faire appel à un prêtre. L'eau bénite n'est pas non plus indispensable ; elle est, comme le cierge, un accessoire destiné à donner plus de solennité à la bénédiction lorsque celle-ci a lieu dans un site consacré (église, chapelle).
Isolez-vous, déposez la médaille devant vous, sur un mouchoir ou un napperon blanc, fixez-la intensément du regard, comme si vous vouliez graver son image dans votre mémoire, et récitez :
Notre aide est dans le nom du Seigneur, qui a créé le Ciel et la Terre.
Notre aide est dans la Vierge Marie, mère de Notre-Seigneur Jésus venu sur Terre racheter les fautes des hommes et leur donner l'espoir de la rédemption.
Seigneur, exaucez ma prière, et que mon cri monte jusqu'à vous.
Vierge Marie, exaucez ma prière, et que mon cri monte jusqu'à vous.
Dieu Tout-Puissant et Éternel, tolérez le culte que je rendrai à l'image de celle qui incarne le suprême refuge, l'éternel réconfort.
Vierge Marie, acceptez que cette image soit celle que je veux garder de vous, quand je demanderai votre appui et votre consolation. Acceptez que j'y associe le souvenir des saints dont je chercherai à imiter les actes et la sainteté.
Daignez tous deux, je vous en supplie (faire un signe de croix sur la médaille, main tendue) bénir (faire un nouveau signe de croix sur la médaille, main tendue) et sanctifier cette médaille faite en l'honneur de Notre-Dame de Lourdes,
Et accordez-moi, qui aurai soin de prier avec dévotion devant cette image,
Toutes les grâces en cette vie, et la gloire éternelle dans l'autre.
Par notre Seigneur Jésus-Christ (Faire le signe de croix sur sa poitrine.)
Amen.
Vous pourrez renforcer cette bénédiction en la renouvelant lors d'un pèlerinage (près de cinq cents lieux de pèlerinage vous sont proposés page 67), en allant vous recueillir dans l'une des nombreuses cathédrales, églises, basiliques ou chapelles dédiées à Notre-Dame, ou à l'occasion d'une fête en l'honneur de Marie (voir page 93).
Héritière des talismans de protection antiques et du culte médiéval des reliques, la croyance dans le pouvoir des médailles de protection, ou médailles miraculeuses, est toujours vivace.
COMMENT PRIER
Les prières et incantations s'ouvrent et s'achèvent, si possible, sur un signe de croix. Pour plus d'efficacité, elles seront courtes, mais intenses. Il n'y a pas de méthode particulière pour s'adresser à la Vierge Marie ou à un saint intercesseur, excepté un profond respect ; la médaille est, comme les anges, un intermédiaire, un porte-parole qui n'a besoin d'aucun protocole. L'essentiel de la prière est dans la sincérité avec laquelle elle est prononcée : le fond compte plus que la forme. Inutile de dire la prière à haute voix, il suffit de la prononcer mentalement, en se concentrant.
Prenez votre médaille, ou, si vous n'êtes pas seul(e), posez la main sur votre porte-cartes. Vous pouvez aussi fixer votre esprit sur son image si vous n'avez pas votre médaille avec vous, car on peut prier partout, dans le métro ou dans le bus, pendant la pause-café ou au travail, entre deux coups de téléphone... Au volant, même, en profitant des embouteillages.
Décontractez-vous, profitez de cet instant en vous disant qu'il est unique, laissez monter en vous l'énergie de la médaille et récitez mentalement ou à haute voix, selon le contexte, la plus belle des prières jamais écrite, et sans doute la plus récitée au monde, le « Je vous salue Marie », l'Ave Maria latin, que les plus grands compositeurs ont mis en musique. Récitez-le avec toute votre ferveur, et ce sera digne de Haydn ou de Gounod. Les mots en sont simples et efficaces, ils valent toutes les invocations, plus ou moins éloquentes :
Je vous salue Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous, pauvres pécheurs,
Maintenant et à l'heure de notre mort.
Ainsi soit-il.
La prière originale, en latin :
Ave Maria, gratia(e) plena,
Dominus tecum,
benedicta tu in mulieribus,
et benedictus fructus ventris tui Iesus.
Sancta Maria, Mater Dei,
ora pro nobis peccatoribus,
nunc, et in hora mortis nostræ.
Amen.
Ensuite, adressez votre requête à la Vierge, ou faites-lui vos confidences ; racontez-lui vos soucis, mais aussi vos joies. Avant de prendre une décision, demandez-lui qu'elle vous envoie un signe et qu'elle vous aide à interpréter ce signe. Avec des mots simples : la sincérité, même maladroite, vaut tous les discours du monde.
Si vous avez des problèmes de santé ou de vie quotidienne, vous pouvez la solliciter par l'intermédiaire d'un saint guérisseur (voir page 115, ainsi que l'index en fin d'ouvrage), car deux protections valent toujours mieux qu'une !
LES PRIÈRES À MARIE
Il existe, outre l'Ave Maria, d'autres prières à Marie, que vous pourrez réciter, toujours avec respect et ferveur, lorsque vous vous apercevrez que votre « Je vous salue Marie » est devenu routinier.
• Saint Alphonse-Marie de Liguori (mort en 1787), évêque de Nocera, en Italie, qui consacra sa vie aux pauvres et à ceux que la société rejette, est l'auteur de cette prière à Marie :
Ô Marie, Vierge très sainte et immaculée,
Vous qui êtes la Mère de mon Seigneur,
Vous qui êtes ma Mère,
Vous le refuge des pécheurs,
Moi, le plus misérable de tous, je fais encore appel à vous aujourd'hui.
Je vous vénère, ô grande Reine, et je vous remercie de toutes les grâces que vous m'avez faites jusqu'ici.
Merci de m'avoir délivré de l'enfer, que j'ai si souvent mérité.
Je vous aime, ô ma Souveraine, et pour votre amour, je m'engage à vous servir toujours, et à faire tous mes efforts pour que vous s...
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