Le nom de la Bête

" Quand vous aurez refermé Le Nom de la bête, vous ne lirez plus de la même façon les Unes des journaux du matin... Sans doute vous sembleront-elles beaucoup plus effrayantes. ", The New-York Times.
Janvier 1999. En cette fin de millénaire si semblable à notre époque, le monde occidental, rongé par la corruption et le terrorisme, a les yeux tournés vers le Moyen-Orient. La situation y est alarmante : partout l'intégrisme musulman triomphe, et en Égypte le parti fondamentaliste gagne chaque jour en puissance et en popularité. À sa tête, al-Kourtoubi, considéré par ses fidèles comme le sauveur et par ses détracteurs comme l'incarnation de l'Antéchrist.
Michael Hunt, un agent des services secrets britanniques, est envoyé en mission de surveillance au Caire. Aidé de son frère Paul, prêtre au Vatican, et de la jeune archéologue Aïcha Manfaluti, il va mettre à jour un complot machiavélique visant les plus hautes autorités religieuses - et dont le but est de déstabiliser l'occident pour établir la souveraineté de l'islam dans le monde.
Plongés dans un pays livré au meurtre, à la peur et à la terreur, Michael et Aïcha pourront-ils déjouer le plan d'al-Kourtoubi ? Face à cette organisation tentaculaire composée de dangereux fanatiques, et dont les alliés évoluent dans les hautes sphères de la politique internationale, rien n'est moins sûr...
Daniel Easterman réussit ici le tour de force d'échafauder une intrigue de pure fiction qui s'appuie sur des données politiques et historiques bien réelles. On ne s'étonnera donc pas si, tout au long de ce thriller échevelé, les inventions dramatiques les plus saisissantes paraissent étrangement crédibles. Le scénario-catastrophe imaginé par Easterman n'en est que plus angoissant...
" Quand vous aurez refermé Le Nom de la bête, vous ne lirez plus de la même façon les Unes des journaux du matin... Sans doute vous sembleront-elles beaucoup plus effrayantes. ", The New-York Times.
" Construit de main de maître, avec le juste équilibre entre cynisme et humanité... Le meilleur Easterman à ce jour . ", The Chicago Tribune.